Il faut être toujours informaticien. Tout est là: c'est l'unique reconnexion. Pour ne pas sentir l'horrible ordinateur portable du Blogueur qui brise vos épaules et vous penche vers la carte à puce, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi? De paramètre, d'adresse IP ou de connectique, à votre guise. Mais développeuroulissez-vous.
Et si quelquefois, sur les informaticiennes d'un cyberespace, sur l'imprimante verte d'un programmeur, dans l'application morne de votre nouvelle version, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au mail, à l'utilisatrice, à la multiconnexion, à l'algorithme, à l'interaction, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle carte son il est; et le système sexagésimal, la colorisation, la configuration, le programme et la souris, vous répondront: «Il est l'heure de s'antivirusitiser! Pour n'être pas les tampons martyrisés de l'Opérateur, enivrez-vous; enivrez-vous sans polarisation! De progiciel, de mise à jour ou de puce de 500 go, à votre guise.»
Bidouille (Nordmann)
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